Kanohi, conteur d’histoires à travers la photographie 

Kanohi, photographe bordelais âgé de 24 ans, réalise des photographies de portrait, mariage, grossesse, famille, mode, lifestyle, sport etc. Son esprit créatif l’a conduit derrière l’objectif : un moyen de raconter des histoires par le biais de chacune des rencontres. 

« Créativité, partage et amour » sont les mots de Kanohi pour définir ce qu’est la photographie. Un amour naissant durant les années collège et des premiers clichés afin de saisir des instants de joie : voyages scolaires, vacances. C’est en 2019 que sa passion pour la photographie s’est affinée : des problèmes de dos le contraignirent à arrêter toutes activités sportives, dès lors il réalisa de nombreuses photographies avant son opération. Kanohi se forme à l’aide d’ouvrages, de vidéos sur YouTube et exploite sa créativité au sein des workshops. Après avoir concilié photographie et études durant plusieurs années, il se consacre désormais pleinement à son activité. 

Pas de limites pour l’artiste, Kanohi se déplace partout, toujours à la recherche de nouveaux visages. Si ses préférences sont les portraits, son aspiration est de sublimer tous les aspects de la vie. Sa passion c’est aussi la prise de contact avec le client, la mise en place des séances photos et les retouches de celles-ci. Kanohi parfait ses photos afin de créer son tableau, d’y apporter son identité. C’est à travers son art qu’il s’exprime et transmet des émotions : le partage est son maître-mot. 

Pour Kanohi, la photographie c’est prendre des risques : grimper, escalader, glisser dans des marécages pour obtenir les plus beaux clichés. C’est tenter des choses nouvelles : réaliser davantage de portraits masculins. C’est avoir des projets : produire son magazine où seront publiées ses photographies, des interviews de ses modèles, des anecdotes etc. C’est aussi vouloir immortaliser des matchs professionnels de rugby, sa deuxième passion. Et surtout, avoir un atelier pour accueillir ses clients : devenir une référence au cœur de Bordeaux. 

 

Elsa Baudia